08 mars 2012
Le Centre bahá'í d'Ottawa
Par Catherine Lewis
La semaine dernière, je ne
connaissais pratiquement rien de la foi bahá'íe lorsque je suis entré
au Centre bahá'í d’Ottawa sur l'avenue McArthur. Cette semaine, j’en
connais un peu plus long.
Heather Harvey, la responsable du centre, m’a dit qu'il y avait environ
1 000 bahá'ís à Ottawa. Les membres de la foi bahá'íe, fondée
en Iran en 1844, croient que toutes les autres religions du monde sont
des manifestations différentes du même Dieu et que la Foi bahá'íe est
la révélation de Dieu pour aujourd’hui et cet âge.
La foi bahá'íe est une religion sans clergé. Au lieu de cela, il y a un
système de représentants élus. L’un de ses principes de base, a déclaré
Mme Harvey, est l'égalité, notamment entre les hommes et les femmes.
La tante de Heather Harvey, Winnifred Harvey, fut la première bahá'íe à
Ottawa en 1940. Heather Harvey dit que sa tante a joué un rôle dans son
entrée dans la foi bahá'íe. Élevée dans une famille chrétienne, à l'âge
de huit ans, Heather raconta à sa tante qu’elle avait entendu parler de
preuves archéologiques du déluge de Noé. Sa tante lui répondit que
d’autres religions avaient aussi des histoires de déluges.
« Elle m'a dit : 'Il n'ya qu'une seule religion’ ce
qui demeura avec moi pour le reste de ma vie. »
Tonia Pera, née en Espagne, est devenue bahá'íe à l’âge de 21 ans.
Déçue par sa nation profondément Catholique et des différents systèmes
de croyances qu’elle avait exploré, elle a réalisé qu'elle voulait
faire partie de la communauté bahá'íe.
« Il y avait des choses dans mon cœur qui étaient déjà bahá'í mais je
ne savais pas qu'il avait d'autres personnes qui avaient des croyances
semblables, » dit-elle.
Margaret Ram est née dans une famille bahá’íe en Iran et elle dit
qu'elle avait choisi la foi bahá'íe parce que, entre autres raisons,
cela signifiait qu'elle « n'aurait pas à ignorer toutes les
autres religions. »
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