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19 octobre 2019 ACCUEILLIR UNE POÈTE CHEZ ELLE Par Heather Cardin En tant qu’ancienne écrivaine du Ottawa Creative Writers ’Group qui vient de rentrer d’une décennie en Saskatchewan, j’ai assisté au lancement de leur livre de colportage de poésie, When Verses Fell, le 28 septembre au Centre bahá’í d’Ottawa. Plusieurs poètes ont proposé des lectures de When Verses Fell, ainsi que quelques spéciaux pour l'occasion. Les membres de la famille et les amis, certains plus doués en poésie que d’autres, semblaient ravis de la profusion de vers proposés. Les membres du public ont également eu la possibilité de rétroaction : les commentaires étaient perspicaces et sensibles. Peter Brady a offert son haïku toujours original pour débuter la soirée, suivant l’introduction éloquente par l'animateur Jack McLean. Au fur et à mesure que chaque poète parlait et lisait, il y avait dans la pièce un sentiment que j’attribue à l’effet des arts sur l’âme : nous écoutions, profondément et chaleureusement, le mot « peintures » qui revivait. Linda O’Neil a partagé le poème qui a donné son titre au livre de colportage, une rêverie imaginaire de se trouver en présence du Bab alors qu’il révélait le Divin. John Dickie et David Erickson ont tous deux évoqué un sortilège spirituel. Stephen Thirlwall et Maryl Weatherburn ont apporté leur appréciation de la nature. Thirlwall, ainsi que le poète Paul Touesnard, ont également partagé des styles humoristiques. Un de mes favoris personnels, était « … et tout ce qui se situe entre… », mais vous devrez acheter le bouquin pour lire à quel point c'est amusant.
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